Après les splendides bœufs de juin au Café-Bœuf du Hall de la chanson et au ministère de la Culture avec Claude Barthélémy et les musiciens égyptiens de Cordes croisées, puis Mathias Lévy et Georges, le bœuf-musical revient lui aussi comme un rendez-vous.

Il donne cette fois carte blanche à François Marillier, artiste fidèle au Hall de la chanson. Brillant percussionniste et multi-instrumentiste, il sait faire instruments de musique d'objets et outils du quotidien pour faire dire aux chansons plus encore que le sens de leurs paroles ou mots.

Seront convoquées ici chansons de lavandières (Marianne Oswald), de bergers ou de bergères (la reine Marie-Antoinette elle-même), d’ouvriers ("Les mains d’or" de Lavilliers), prisonniers, artisans ("Papa pique et maman coud") de fossoyeurs (Brassens), d’oiseaux (Rimbaud-Ferré), de maisons (Barbara), d’églises (Racine lui-même !), chanson de train, chanson de cantonnier...